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La Triscèle Absolue, essai sur les Icôgrammes

U L T I M A V Ö L V A R U N A

I c ô g r a m m e s A c h é i r o p o i è t i q u e s - A c r o a m a t i q u e s

Ordine in massa confusaou Cosmorunogénèse, la Mission Transcyclique des Runes

« Nous sommes nés pour être heureux. Notre sort naturel est l’équilibre, l’harmonie, car si nous étions ce que nous devrions être, l’univers tout entier se reflèterait en chacun de nous comme un chant splendide, joyeux, triomphant. Et la terre nous parlerait de son langage plein de sagesse, nous guiderait à travers la vie. Et le ciel serait pour nous une continuelle et tendre caresse, et sa pluie nous serait un bien et sa lumière une instruction. Et de loin, des quatre points de l’horizon, les vents nous apporteraient le souffle nécessaire qui ranime, qui fortifie, qui vivifie. Et la grande mer bleue, ou verte, ou mauve, n’aurait plus de mystère pour nous et sa vague furieuse ne nous serait pas une épouvante - si nous étions ce que nous sommes destinés à être : des hommes et des femmes normaux.

Mais il y a dans le monde quelque chose qui nous empêche d’être normaux. Il y a dans le monde une force qui s’obstine à entraver la vie, et le chant de l’univers, à cause de cela, comporte des dissonances qui sèment la douleur, la fausseté, la cruauté.

Il y a une vaste méchanceté répandue dans le monde. Elle empêche les hommes d’être des hommes et les femmes d’être des femmes. Et les enfants eux-mêmes ne peuvent pas être enfants, naïfs, frais, joyeux, à cause de cette méchanceté qui hurle à travers les êtres comme un inconsolable désespoir. Les noms les plus divers ont été donnés à cette force méchante, car de tout temps on a cherché à la paralyser. On l’appela Satan, on en fit le Diable, on dit que c’était l’esprit-du-mal, l’esprit-de-la-destruction, que sais-je encore!... Tous ces noms n’avaient rien de réel, et c’est pourquoi jamais l’Ennemi ne fut dompté. Car voici ce qui est positif quoique bizarre : il suffirait de découvrir le vrai nom (la correspondance essentielle) de la méchanceté pour la localiser et la faire disparaître de ce fait. C’est un mystère, parce qu’il est difficile d’expliquer en termes vulgaires la vie et l’essence des noms, mais c’est vrai que si l’on savait prononcer, c’est-à-dire accomplir, le rite symbolisant l’Entrave-Suprême, toute sa force maléfique serait paralysée. Mieux encore : elle n’existerait plus.

- Qui est-elle ? Demandai-je, et froides étaient mes mains.

- Son nom est oublié et le langage qui, seul, le contenait, ne se retrouvera plus, car j’ai changé la gorge des mortels, afin qu’aucune syllabe de ce mot maudit ne puisse plus pénétrer dans un cerveau humain et y déranger le cours des choses... » Maria de Naglowska

 

Seul l’esprit est aliéné, la chair, la Structure, Elle, redevient toujours innocente !

 

« Une conspiration du silence a oblitéré le rituel, le symbolisme, la mythologie, et presque la réalité de ce qu’il y a de plus féminin dans le sexe de la femme »

Georges Devereux, Baubo la vulve mythique, éditions Jean-Cyrille Godefroy

 

 

 

Acheiropoïèmes

 

TRIŒil

 

L’ŒIL Trièdre sans visage comme

Une chevelure d’Or sans tresse

La Ténèbre, Elle y est absente

Comme cette nuitée Solaire sans lune

C’est une soleille noire au blanc de Laquelle l’eau nait du Sang Real d’Elle

C’est un Sexe sans corps au Cœur de Fleur Duquel l’Amour s’enroule en Vrille

Pour former l’IRIS-MATER, sa Sœur IS

Et d’Elle, son autre IS Trimorphis

Obombrer les Sphères Théurgiques Pupillantes, accoupler aux Cycles, aux doubles, Triœil

 

 

LES TRESSES

 

 

 

 

BAUBO à L’HYMEN

HYPERBORéENNE CONSTéLLéE

IMMACULéE COMME LA VOIE LACTéE

D’UNE BELLE BLUETTE

CONSACRE L’HYMNE DES AMOURS

SANS MORT DE NOS MèRES

EN DéNUDANT L’ORIGINE, à LA DéROBéE,

DE NOS CORPS SEXUéS

AINSI L’HèTRAIE CONOÏDE

CONVULTIONNAIRE DES 3 BETH

ACCOUPLE à LA NATURANTE

NATURE VIVIFIQUE DE ST. ANA

L’HYPOGéE DES CHOSES VISIBLES

L’APOGéE DES FORCES INVISIBLES

EN UNE ODE NUE INABRITéE,

LES TRESSES DE LA SOPHIA INTERNELLE.

LA VAL NOVENAIRE

 

La VAL SAINTE aux forêts albedorescentes, ou se cache l’immaculée des premières femmes, faite en chaire de brume solaire découplée, sans lune. Dévoile l’offrande invaincue de l’oréade. L’amitié de ses cuisses comme une fontaine trioïdale ordonnancielle, ovoïde et orbiculaire : LA MERE, L’AMOUR, LA MORT, sourdrissante et jaillissante, oscillante. 3 sources extraversées des eaux cosmiques originelles.

Les rosaces serpentines se structurent en une arborescence losangée hexagonale. Les vouivres offrent leur ordalie cyclique, par d’amoureuses procréations rituèliques, assouvissements créationnels, laissant leurs vulves déhiscentes pour l’ovation apothéotique du novénaire.

 

 

 

 

 

 

Ren-CONTRE

 

Joug contre Joug

Bouche contre Bouche

Joue contre Joue

 

Je suis celle qui noue

 

Sang contre Sang

Pan contre Pan

Temps contre Temps

 

Je suis celui qui pend

 

Sein contre Sein

Sexe contre Sexe

Sage contre Sage

 

Nous Sommes l’Aréopage

 

Rencontré en l’Œuf Neuf

 

 

 

 

 

 

Völvaruna, BauBÔ, la Moelle de ses SeinS, l’Amitié de ses Cuisses

 

 

Nous voici en ce cycle abouti, Trois « M*AD’ÂM*E » se dévoilent, figurant une Triscèle hiéroglyphique, en notre « soi-même ».

Triscèle cubéiforme, généreuse, équilibre symbolique de « l’œuvre ». Sel de vie, Cybèle (cubelle !), Mère des dieux, Siège sur le mont kubélé (le cube). Temple de Jérusalem, Jérusalem céleste, kaaba (cube) Pierre solaire parfaite de Lune. Arbre sephirotique de la kabbale (cube).

Cette Triscèle cubique cache la trace de toutes les figures à venir (les polyèdres réguliers), qui sont une densification « parfaite » de l’énergie « subtile ». Ainsi l’ordre structurel intime de la matière est signifié à la conscience de l’être. L’image est source de confusion. La figure, ingénue, permet d’appréhender le symbole, qui, offre un parangonnage de l’image, pour, enfin, s’en libérer.

Dames Triscèle enceintes d’intelligences trivalentes :

 

La Bonne Bien Belle Dame Sans Merci La Grande Prostituée La Chose Sauvage Sans Nom

 

A la mesure de DEMETER, de sa fille PERSEPHONE « tenue » par la BAUBÔ mythique, figure archétypale, « S e x e s » du milieu, médiatrice ultime.Trois étoiles unitives. Trois Soleilles univoques, de glace, d’aether, de feu. Soleille de glace, blanc, axe de la terre. Soleille d’aether, noir, axe de la galaxie. Soleille de feu, rouge, axe de l’univers. Soleilles des trois cieux « boréens» (jour blanc/sacré, jour rouge/naissance/mort et jour noir/production/reproduction). Ainsi est, le Pur Amour, intelligence symbolique de VÖLVA l’uni-vers-elle.

Intelligence à rapprocher avec vivacité du mot symbole venant du grec sum-bolon: de sun = avec, ensemble et ballein = lancer, jeter. Principe du couple séparé un temps et réuni à nouveau. Le symbole jetant un pont entre les deux parties (sexuelles) séparées pour les réunir et former ainsi le couple, la troisième partie. Le couple symbole/intelligence c’est la Nature Divine. IN – TEL – LIGENCE = dans (in) dieu (tel) cueillir (leg). Dieu, dium, diurne, journée, âme pensante de la nuit.

 

Soleille de ce soir, Etoile Nocturne, Soleille de ce matin, qui vient, M*AD’Â*ME aux treize Portes

 

LUONNOTAR, La M*AD’ÂM*E,La BAUBÔ TRANSFIGURALE des Déesses et des Dieux, des Êtres. La MATER NATURA = 6 : Lumière Virginale Laiteuse des Mondes, gicle la Vie.

CYBELE, CUBELLE, LA BELLE DU CUBE, la Nourrice aux Mamelles Toroïdales. L’une centripète, Soleille de Glace, l’autre centrifuge, Soleille de Feu et son SexeS du milieu, Soleille d’Aether, l’équilibre informel sans fond sans face. Ainsi ses SeinS « Sphères des Soleilles » offrent la Moelle Aurorale, Corne d’Amalthée Dénudée.

Au sein des Athanors de Chairs, Transsubstantiation du Rouge « Segax » au « Blanc-du-Noir ». Albification du « Sanguis Draconis » en « Lait de la Vierge », Couple : Sanglier/Laie, ARDUINA, la Déesse Laie chevauche le Sanglier. La Pierre est Nourrie de son Propre Lait, Vincit Omnia Veritas.

Menstrues Blanchies des Philosophes, Mondifications Parfaites de l’Ordre : NEOGALA, le Lait Nouveau, pour nous-mêmes. AMBROISIE NEIGEUSE.

Semence Androgynale, que moi-même, Œil de Corbeau, Tète, avant de Naître de l’Avant, tel un Vent du Ventre, en mon VAISSEAU : COAGULA-SOLVA.

ARTEMIS me Vêt de la viande du Cœur, m’Abreuve d’Ahot, d’Absynthe et d’Alkaest. Et m’emmène à la Vie. Ainsi, j’Existe à l’Extérieur pour Être, par réaction, contemplation, action. Transcendant les 12 « Travaux » du « Soi-Hercule ». Pour Cailler le Lait de Ma Belle, en Elaborer Tout un Fromage de Femme écarlate. A l’intérieur, un Blanc Virginal. L’extérieur à la Noirceur Fertile Triomphe.

La première Epreuve, pour certains, en dehors de l’Acte d’Existence, est de ne pas pouvoir téter les seins de leurs Mères, ni de quelques autres Nourrices. Être : porter cette Croix Pectorale en la Transversant en x Lactescent. La Poitrine au Trois Tétons qui Allaitent, est Universelle.

Dorment-ils encore, les Seins Serpentiformes d’Héra ?

J’embrasse, suce les Aréoles Rosées, avale la Rosée de Lait Par : Calcination (bélier), Congélation (taureau), Fixation (gémeaux), Dissolution (cancer), Digestion (lion), Distillation (vierge), Sublimation (balance), Séparation (scorpion), Incinération (sagittaire), Fermentation (capricorne), Multiplication (verseau), Projection (poissons), Réalisation (serpentaire)…

 

Et toutes les « grandes Déesses » de l’héritage mythologique transcontinental Hyperboréen n’ayant été qu’autant de préfigurations visionnaires, divinisantes portées en avant par le mystère agissant du « Logos Spermatikon » de BAUBO.

Entretien sur l’art médiocratique et sa solution L’ART SINGULIER « contretemporain », en forme d’oraison pour la prochaine ordalie.

 

  • O.C : Comment trouver l’art?

  • TT’H : En réapprenant à désapprendre par soi-même. Pour notre part, en désimaginant la représentation. La désensorceler ! Être, idéolâtre. Donner des signes hétérodoxes. Cheminée de traverse déjà enfarinée de la brume AURORALE à venir. Le soleil pointe tout devient claire. L’ART apparaît !

  • O.C : L'art a, est la forme solaire ?

  • TT’H : C’est la réalité naturante de l’ART. La lumière, émanationrayonnante courbe droite courbe est l’ART. C’est la danse des sphères dans toutes ses expressions vivantes. Tandis que la source reste vierge de tout ART. Ainsi tout ART tend à y revenir dans un temps.

  • O.C : L’art d’aujourd’hui, qu'est-il ?

  • TT’H : Toujours imager le mirage sans eau.

  • O.C : C'est-à-dire ?

  • TT’H : L’ART n’est plus apparent, il est dans l'ailleurs, l'art qui se voit n'est pas de l'ART, c'est un leurre, un faux-jour.

  • O.C : Pourtant il n'a jamais été aussi présent ?

  • TT’H : Il est effectivement très présent, dans l'absence.

  • O.C : Et les grands artistes de l'après-guerre ?

  • TT’H : Paroxysme d'une synarchie "progressiste" convergente, idéologisée de derrière par le "contre-nature", à part exception.

  • O.C: En étant plus clair ?

  • TT’H : L'industrialisation des âmes (1) n'est pas possible. Il faut "éliminer" symboliquement, rituellement l'âme pour industrialiser l'esprit, puis le corps. Cet holocauste des âmes à lieu depuis des lustres, nous en sommes à l'ultime achèvement et dans le même temps à l'ultime renversement volontaire possible.

  • O.C: nous trouvons au contraire que cette multiplicité provoquée par l'industrialisation est douée d'un potentiel foisonnant de créativité.

  • TT’H : L'homme ne crée rien de lui-même, il découvre ce qui est (couvert). Tout au plus, il conçoit, plus précisément, il concrée. Il crée avec … "une" présence appartenant aux "mondes des idées", déesse, dieu, démiurge, qui lui "montre". Il y a une création et des concréations. L'ART est lié à… la création dès l’origine. Il n’a donc pas à être relié à quelque chose d’autre, étant « ligieux » par essence. L'art qui n'est pas lié, n'est pas. Ce lien a un nom : Sacré. Les artistes qui se prennent pour des créateurs religieux sont abusés et convertis à un miroir aux alouettes, tournant de plus en plus vite et donnant l'illusion de "l'art multiple".

  • O.C : Et l’intelligence dans tout cela, elle existe !

  • TTH : La Nature est intelligente, l’Être est intelligent, l’Art est intelligible, de quelles intelligences procèdent-ils ? Intelligence vient d’une racine : leg, lire, cueillir, rassembler. IN – TEL – LIGENCE = dans (in) dieu (tel) cueillir (leg). Dieu c’est dium et dium c’est diurne, le jour, le « firmaman », la journée, âme pensante de la nuit. Il est des cycles où des intelligences, certaines, s’approprient le lieu de leurs existences et se sacrent elles-mêmes à elles-mêmes. Particulièrement, ici, maintenant cette intelligence, là, c’est la grande prostituée, incarnée par le « grand public », en œuvre de théorisation finissale de dieu.« Le péché entre dans le monde par une femme et c'est par une femme que vient le salut. »(voir le chapitre 3, verset 15 du livre de la Genèse). Dame obreptice, simulatrice, dissimulatrice, « matronnant » les Intelligences métissées (vient de mauvais tissage) d’humanisme « ex oriente lux » et d’artificiel « machina ex deus ». Intelligencesdévivifiantes, irradiées d’intellectualismes contre-natures. La massification de ces intelligences a comme volonté première de soumettre. « L’intuition de vie » des humains est dissipée comme, maintenant, « l’instinct de survie ». Saturé chimiquement, « transgénisé », « radioactivé » pour être dénaturé : une ressource humaine globale médiocratique, manipulée génétiquement, médicalement, intellectuellement, psychiquement, artistiquement. La technolâtrie finit d’achever le « travail » (en latin : tripalium, "Instrument de Torture A trois Pieux" ) réduisant l’esprit humain à apprendre, par « moniteurs » interposés, en mode binaire. Dualité totalement stérile, pour tout. L’art dans tout cela est la représentation agonisante de l’humain, enferré par L’artriste

  • O.C : L'art aujourd'hui est pour vous…

  • TT’H : …Un instrument de l'industrialisation des esprits. Car en effet, plus que la décadence littéraire c’est surtout l’ouverte ténébralité des « artistes », d’une certaine « élite noire-obscure » de l’art, de la culture « peoples », de la « haute » finance et de la politique. Il y a une inversion qualitative des êtres en présence. Où le beau est le laid et le laid est le beau. Oui, Soulages soulage effectivement les ténèbres d’une part d’obscurité. Mais existe t-il une limite au domaine « outre-noire » de l’art? Question à poser à Sun Yuan & Pengyu. Et tout le monde se fait prendre à ce jeu biaisé par ces ténébrions de pacotille. Le peuple devenu populace n’est plus qu’un égrégore incarné, un fantôme autômatique. Une ressource humaine, le VULGUS PECUS, l’oklhos dirigé par la médiocratie. L’art est la tête de pont arrière de ce train fantôme, pinacothèque de feu l’ « avvoccato ». Mais évidemment ce n’est pas l’ART qui ordonne l’esprit, qui met en forme visible idéale et bienfaisante ce qui est invisible, non. C’est un art rétrograde, à l’envers du bon sens, vicieux, déséquilibré, malsain. Tout l’art qui se voit, sans effort, est un poison d’intelligence sensoriel inoculé, officialisé par le galeriste, critique, subventionniste, curateur. Se pré branlant psychiquement sur ces anti-œuvres à la mesure de l’adolescent découvrant les premiers « jeux d’hommes » et éjaculant précocement dans sa main amatrice cette « jute » si précieuse. Féconde-t-il la dame imprimée sur cette revue. Leur art est aussi diamétralement opposé à l’ART qu’une femme charnelle fécondée par un amant aimant l’est d’une effigie femminoïdale imprimée sur une revue x souillée de sperme infécond.

  • O.C : Et les observants eux ?

  • TT’H : … Sont contaminés par ce qui leur est vendu de voir. Et comme par possession, ils veulent voir de plus en plus. A propos d’envoûtement, la multiplication des « techniques » d’expressions est comme le reflet arraché d’un miroir brisé. Cette pseudo réalité artistique désormais virtuelo-pluritechnoïde, éphémère, est abreuvée, baignée dans une énergie luciféro-ahrimanienne dégénérative, battant à cinquante hertz pathologiquement hypno-envoûtante. Electricité qui coule de source, de quelle source ? Mot venant du grec êlektron, désignant l’ambre. Ambre puissamment électrostatique. Cet état planétaire d’enrobage, de perfusion énergétique alternative (d’une autre naissance, d’un autre monde ?) « représente » ce monde sous une forme totalement inversée. Et soyez en sûr, elle tend en définitive au désordre de ce que nous sommes, des êtres. Mais attention, nous ne sommes pas « technophobes », il est possible de tourner la technologie comme elle nous est délivrée, contre elle-même. A la mesure de l’ouroboros autophage. L’évidente involution de l’idée d’Âme au profit de la pensée intellectuelle du corps est la raison dominante de la matérialisation électro-technologique. C’est ainsi, l’homme passe par des cycles cosmiques saisonniers à la mesure de la nature dont il est un des arcanes. « Un grand travail négatif à accomplir », T. Tzara, manifeste dada 1918. « Tuer l’ART est ce qui me paraît le plus urgent », A. Breton, 1919. Soyez rassuré ce n’est pas dada ou les futuristes qui ont achevé l’ART. C’est Ignace de Loyola en 1536 ! En effet nous avons la possibilité d’établir, en symbolique, l’époque précise d’inversion de l’idée d’Âme au profit de la pensée intellectuelle du corps donnant naissance à l’intelligence contemporaine. Ceci grâce à trois incarnations : Nicolas De Flue (1417-1487). Jérôme Bosch (1450-1516). Ignace de Loyola (1491-1556). Nicolas De Flue ultime mystique helvétique de la « réunion des principes ». Par son action il boucle le cycle précédent et devient le « phosphore » de celui qui arrive. Jérôme Bosch peintre médiéval, Adamite, à « cheval » entre deux ères. Par son extra lucidité Liée à sa technique picturale exceptionnelle, il dépeint l’entièreté de l’ère « contemporaine ». De son commencement à son aboutissement. Ceci est particulièrement exprimé par son chef-d’œuvre, le triptyque « du jardin des délices », en 1510. Et enfin Ignace de Loyola grand mystificateur fondateur de l’ordre de la compagnie de Jésus, les jésuites. Par son redoutable psychisme à rebours et ses exercices spirituels, il incarne l’épiphénomène qui prépare l’humanité christianisée à intégrer le concept de modernité, réceptacle de la future technocratie technolâtre. L’emprise obscurantiste totalement définitive, pour un temps, de « l’intelligente » pensée « jésuitique », passant d’abord par le subconscient, sur la conscience intellectuelle humaine, tel qu’elle est admise au jour d’aujourd’hui est unilatérale. Ce « courant » psychique qui prend corps favorablement dans cette « société » est évidemment plurivalent et très ancien. Mais c’est son heure de gloire, il coagule et démultiplie sa puissance dans le but de devenir la seule entité à dicter le savoir qui doit être et celui qui ne doit pas être. Ainsi, aujourd’hui, c’est chose faite. Le système de pensée derrière la façade jésuite et leurs prête-noms sont partout et surtout là où ils ne sont pas ! 99% du savoir écrit est passé, passe par leurs mains filtratrices, falsificatrices.

  • O.C : C’est difficile à croire !

  • TT’H : Evidemment, c’est exactement cela, ne pas croire en dehors de l’intelligence établie. Et cela fonctionne à merveille, « l’hybris ».

Car nous, humains hybrides de la post-civilisation terminale. Nous, personnes, de l'einsteinium éjaculateur quantique, empreints d'une paléo-modernité finissale. Nous, adorateurs de la flamme "verte" fictive, hologrammes des illusions de nos vies épuisables, nous nous sommes fourvoyés, idolant un cénotaphe dissolvateur de nous-mêmes. C’est à croire que les clairvoyants sont les aurochs du 21ème siècle. Sauf que les aurochs sont dans le monde qui vient vers nous, et par réciprocité les clairvoyants catalysent leurs êtretés. Ainsi sont-ils invisibles aux « peuples » porteurs d’épitaphes humanistes siégeant sur le monde admissible, catafalque du cénotaphe ! Mais ce catafalque assez abstrait pour l’œil de la « ressource humaine » obscurci de « non-être » a un autre nom : Démocratie. Dêmos, kratos, le peuple et sa force. Oui, mais ici, dans notre ère de la post-civilisation terminale, les peuples sont terrassés par athéisation globale aujourd'hui consommable. Directement reliés à la précipitation des ochlocrates, sont les infra-bigots/bigotes des "monopaterismes". Le dêmos, ainsi décomposé en okhlos, (populace, la plèbe, miasme humain indifférencié) se perd à l'état de ressource énergétique humaine, de la graisse, dêmos, et son énergie, kratos. Démocratie humaniste, démocratie servile, démocratie démonique se déclinant dans une ochlocratie lamentable donc capable de lamentations. Ochlocratie non-traditionnelle claquemurée par l'oligarchie oligophrénique : La contre-tradition. Et aidée en cela par la néoscience dogmatico-ploutocratique, ultime claustrateur visible ! Car ne soyons pas dupes, l’ochlocratie est absente de tous ordres hiérarchiques bienfaisants. C’est le temps, maintenant, ou « une » déesse auto-ovariectomisée ovationne le lieu du sacrifice.Mais recentrons-nous ! Parlons de la finalité de l’ART ou plutôt son indéfinalité ! Il y a toujours une éveillance extatique à observer ainsi la « lucie-fer » enstatuée s’insinuer en l’art. Se complaisant en ses arcanes idiopathiques d’en dessous. Orogénèsant avec ostentation sa propre anfractuosité infranchissable, qui, elle, n’est pas fictive, mais bien réelle. D’art Qu’avons-nous à voir, à entendre, à lire ? Ce que nous méritons sans aucun doute. L’harmonie est véritablement honnie des sphères élitistes du monde de l’art. C’est même le contraire. Plus le déséquilibre intellectuel est la matière première, le but finissal de l’anti-œuvre, plus celle-ci est exposée au « grand » public obombré de sa présence. Alors que simplement, comme nous le savons, ce qui n’est pas en équilibre sur les plans de l’existence, un jour ou l’autre, tombe. L’art est en chute. Une involution de l’harmonie au profit d’une évolution, d’un progrès intellectuel de la désharmonie expressive. SOLVE, Dissolution de la tradition. COAGULA, solidification de la modernité. Ceci est évidemment bien autre chose qu’une histoire de goût et de couleur. C’est une question de vie ou de mort, de vivant mort si vous préférez ou de mort-vivant… L’ART n’est pas, n’a pas un but. Il a, il est un axe, une focale, une voie. L’ART, est de communiquer de façon sensible (acceptable à nos sens) objective et symbolique la réalité immatérielle inacceptable à nos sens. L’ART dévoile ce que la Nature aime à voiler.L’oeuvrier véritable, empreint de sacré, pour qui la Nature est toute nue, (car il est le don de transvoir pour transmettre), offre la vision extatique de son être à ses contemporains comme un réverbère, lumignon métaphysique, éclairant en ombre la réalité opérative de ce monde. Et comme cet être est respectueux de la déesse, et pour que les « médiocres » ne puissent la violer, il revoile l’expression de son style par sa propre psyché. Aussi d’ailleurs, pour ne pas se faire tuer… « Ainsi, la divinité suprême nous est cachée non par un voile, mais bien au contraire par l’absence du voile des formes sensibles. Par contre, les réalités inférieures sont cachées parce qu’elles sont enveloppées dans le voile des formes sensibles.» (réf. Le génie de notre Dame Nature, notes de lecture sur « le voile d’Isis » de Pierre Hadot par Wolfgang Wackernagel, Diogène n°207). Spontanément nous vient l’idée d’équilibre, d’une féconde harmonie des forces en présence, généreusement évidente. Cela a un nom : le beau bien sûr, lié au bien, au bon. Voici la véritable voie d’extrême centre, celle du milieu. La bien bonne belle voie des voies. L’ART SINGULIER.

En philosophie, en logique, en métaphysique, en art, la singularité est le fait pour une chose d'être singulière, c'est-à-dire unique, particulière et principielle. En physique, une singularité gravitationnelle est un point spécial de l'espace-temps qui se dissous En mathématiques, une singularité est un point où un objet mathématique qui n'est pas défini : par exemple, une valeur où une fonction d'une variable réelle qui devient indéfinie et irréel, donc métaphysique

En futurologie, la singularité technologique est un point hypothétique de l'évolution technologique vers la fusion biologique. Ultimement L’art singulier dans une galerie singulière c’est : L’art des fous parfaits, des cinglés éveillés. La voie du cœur, sans aucunes références théoriques, qu’elles soient artistique intellectuelle religieuse. Le cœur articule sa dimension dans la singularité des paradoxes. L’amour de la vie miroitante, et agissante. Voici la clef, En dehors des concepts d’art naïf brut ou pauvre… C’est la voie du cœur qui s’exprime.

 

  1. La différenciation que nous observons entre l’esprit (le pneuma = respiration) et l’âme ( L’ÖND des nords, la vibration primordiale, la parole constante) est très subtile. L’esprit est en fait « le lien alternatif » entre le corps (soma) et l’âme (psyché). L’esprit c’est le NOÛS’, l’esprit mental, l’intellect doué de passivité et d’activité (inspiration/expiration/retenue). L’esprit, le NOÛS’ est l’animus masculin, intellectuel (dianoïa). L’âme est l’anima féminine intuitive (noesis).

« Les hommes vont de multiples chemins, celui qui les suit et qui les compare verra naître des figures qui semblent appartenir à cette grande écriture chiffrée qu’on entrevoit partout : sur les ailes, la coquille des œufs, dans les nuages, dans la neige, dans les cristaux et dans la conformation des roches, sur les eaux qui se prennent en glace, au-dedans et au-dehors des montagnes, des plantes, des animaux, des hommes, dans les lumières du ciel, sur les disques de verre et les plateaux de résine qu’on à touchés et frottés, dans les limailles autour de l’aimant et dans les conjonctures singulières du hasard. On pressent que là est la clef de cette écriture merveilleuse, sa grammaire même… » Novalis

 

 

 

 

 

« La Nature n’est pas une aveugle puissance :

C’est un art qui se cache à l’humaine ignorance. Tout ce qui paraît hasard est l’effet d’un dessein qui dérobe à tes yeux son principe et sa fin. Tout ce qui dans l’univers te révolte et te blesse, forme un parfait accord qui passe ta sagesse. Tout désordre apparent est un ordre réel, tout mal particulier est un bien universel. Et bravant de tes sens l’orgueilleuse imposture conclut que tout est bien dans toute la Nature »

 

 

 

 

«Ceux qui réussiront à triompher de tous ces obstacles et à triompher de l'hostilité d'un environnement opposé à toute spiritualité seront sans aucun doute un petit nombre; mais, une fois encore, ce n'est pas le nombre qui compte ici, car c'est un royaume où les lois sont assez différentes de celles de la matière. Il n'y a donc pas de raison de désespérer; et même là où il n'y a aucun espoir de parvenir à un résultat visible avant l'effondrement du monde moderne dans une catastrophe, ce ne serait pas encore une raison valable pour s'abstenir de se lancer dans un travail dont la portée s'étend bien au-delà du temps présent. Ceux qui pourraient se sentir tentés de se livrer au découragement devraient se rappeler que rien de ce qui s'accomplit dans ce monde ne peut être inutile, que la confusion, l'erreur et l'obscurité ne peuvent jouir que d'un triomphe trompeur et purement éphémère, que toute sorte de déséquilibre partiel et transitoire doit nécessairement contribuer au grand équilibre du tout, et que rien ne peut finalement prévaloir contre la puissance de la vérité ; ils devraient prendre pour devise celle qui fut adoptée en d'autres temps par certaines organisations initiatiques en Occident: Vincit omnia Veritas.» (René Guénon)

 

 

 

Voici une introduction à l’essai Cosmorunogénèse dont l’intégralité peut être demandé à l’auteur

 

« La Spirale Cosmique Toroïdale est, dans la circonstance de nos temps versés, Celle qui donne à exister, à être ce monde. Elle Oblige.

Retourner dans les hautes profondeurs, absolues, en forêt transfigurale. Quitter l’orée du bois, la plaine souillée dénaturée, contre-nature. Vivre, à nouveau, en nos vertes montagnes « spyramidales », aux champignons célestes, dont les pointes sont nos étoiles terrestres, les Runes ».

 

Nous quittons le cycle exotérique d’expositions. Et cheminons « en confidence ».

 

 

Cet essai présente trois idées permanentes au sein de l’œuvre CON-SACREE à BAUBÔ :

  • Sa Symbolique

  • Sa Grotte-völva-BAUBÔ

  • Sa Triscèle

Réunies en une vision cosmogonique qui illustre de mots les icôgrammes de ces dernières années.

 

 

« Si tu veux trouver, simplifie tout »

Les Tiers-Dieux, la fin de l’électricité, et La Voie Vitale des Nôtres

 

« La Spirale Cosmique Toroïdale est, dans la circonstance de nos temps versés, Celle qui donne à exister, à être ce monde. Elle Oblige.

Retourner dans les hautes profondeurs, absolues, en forêt transfigurale. Quitter l’orée du bois, la plaine souillée dénaturée, contre-nature. Vivre, à nouveau, en nos vertes montagnes « spyramidales », aux champignons célestes, dont les pointes sont nos étoiles terrestres, les Runes ».

 

Nous ajoutons, pour conclure ces florilèges runéiformes, cet essai sur la Triscèle, structure absolue. Nous nous sommes « borné » à évoquer cette forme afin de nous comprendre dans ce cosmos, et dans la fine tranche vibratoire (1%) que nous nommons réalité. La quête continue, de la voie orale au laboratoire informel, du labeur de la terre aux nébuleuses métaphysiques. Nous laissons ici « la société » et ses artifices.

Pour la jeunesse, celles et ceux qui cherchent leurs voies de vivre, nous vous proposons de faire connaissance avec celles et ceux qui suivent la voie vitale des Nôtres !

Écrivez-nous (Vatelier, 9 ch. De sierne, 1255 veyrier Genève, Helvétie), ou sur notre éphémère courriel : vrilond at yahoo.fr

D’autres êtres ont été très loin dans la quête formelle de ce monde. Nous vous transmettrons avec joie les coordonnées nécessaires.

 

A vous d’œuvrer. Car il existe une incompétence dramatique dans notre « communauté humaine », à considérer les potentats en présences, « élus » métissés, vient de mauvais tissage, activateurs de ce système technocratique contre nature. Hégémonies Aliénées, paroxystiques, presque absolues, conditionnant l’ensemble des domaines bio-existentiels, qui nous concernent, surtout nous autres, les êtres humains.

 

Qui, de ces êtres de bonne volonté, empreints d’une paléo-modernité suicidaire. A la volonté « très puérile », voire totalement profane, de reconnaissance de la part des instances gouvernementales.

Quoi, de ces ordonnateurs subjuguant, derrières les minces ersatz de la pseudo réalité technoïsée à outrance, orchestrés par les sciences autorisées, les religions officialisées, les organisations internationales, les banques méta-nationales…

Rendons-nous à l’évidence : l’humanité finissale, en état d’hallucination hypnagogique, sidérée par une technologie qui ne vient pas d’elle, prochainement transplantée en celle-ci, est ce que nous pouvons nommer : « une technochlocratie », une ressource humaine désormais contre-nature.

Savons-nous, à qui nous avons à faire ?

Oui, toutes les mythologies les ont évoquées, les poètes, les traditionalistes, les philosophes. Jusqu’aux romanciers de nos temps. Aldous Huxley, initié, a projeté la réalité immédiate, dans son « meilleur des mondes ». George Orwell dans son « 1984 ».Toutes ces voix s’étouffent dans la fictionnalité réalisée.

Demeurent, agissants, pour leurs uniques gloires, les Tiers-Dieux technomorphes, un tiers cyclopéens, un tiers dragonniens et un tiers humains, Ivres de nos vies !

Une aristocratie à rebours, au sang royal bleu-carmin calciné, Affamée de la ressource énergétique humaine que nous représentons, pour les sustenter.

 

Chacun de nous AUTRES se doit d’être, Chevauchant le DRAGON amoureux de la LICORNE, sur la Voie Vitale des Nôtres !

Le soleil se couche, confusément pris pour un lever, le crépuscule des créatures.

 

 

 

 

la Longue Nuit au Soleille Noire,

les Etoiles du Jour à Venir Brillent comme Notre Soleille Intérieure.

 

 

« Ne croyez rien de ce qu’un livre vous prescrit de croire »

 

 

Avant-dire

 

Destruction des bibliothèques : d’Athènes (-540), de Persépolis (-330), de Hao et de la plupart des sites cultuels en chine (-212), de Carthage (-168), d’Abmon (-75), d’Alesia (Alaise en Jura), 400'000 manuscrits y furent brûlés (-52), d’Alexandrie (-48), d’Ephèse (54), d’Octavie (80), encore d’Alexandrie, d’Antioche, Césarée, Hippone (300). La suite est un autodafé continuel sur 1700 ans, suractivé de nos jours, alimentant les forges de la technocratie.

La réalité du savoir humain est une suite de coïncidences tragiques, falsifications volontaires, des contrevérités. Manipulations parfaites par les continuelles révolutions humanistes des « lumières », sans cesses régénérées, mieux maîtrisées que les monothéismes et se mélangeant à leurs inquisitions contemporaines surfaites par la technologie.

Alors quoi croire ? Apprendre sur une table « triangulaire », qui plus est tronquée, pour « couronner le tout » ? Faire d’elle une « tabula rasa » ?

C’est d’une « tabula nova » sur laquelle nous souhaitons boire « le Soma » !

Mais, nous autres, savons qu’il n’y a jamais « rien de neuf sous le soleil » et ces tables, elles existent, partout en Europe d’abord et tout autour du monde, sur les cinq continents : dolmens (daol, table, men, pierre) du néolithique. Temps ou la nature liée à la totalité même de la créature humaine, s’enroulait en spirale continue, sans coupures, sans aliénations.

Des hommes des cavernes ?

Qui connaissaient les périodes de la terre, sa sphéricité. Reconnaissaient les constellations, leurs sens dans la voie lactée. Visualisaient les réseaux telluriques et présentaient les courants d’eau souterrains. Nous le savons car la situation, les proportions géométriques des sites mégalithiques font obligatoirement appel à ses connaissances aujourd’hui oubliées…

Nous vivons dans une situation d’involution, une densification de l’esprit propre aux cycles terrestres. Involution naturelle, qui permet à des « parasites » de croître, de multiplier en se nourrissant des qualités aliénées (privées de liens) de la nature et de son biotope.

La nature physique, infraphysique, supraphysique, métaphysique est fragmentée, cloisonnée, résorbant notre compréhension du monde sensible.

L’univers n’est pas un univers où les soleils et planètes sont des moteurs à fusions, mais un univers électrique, électromagnétique dans lequel notre système solaire est plongé, comme dans une sorte de rivière magnétique. Ce flot d’énergie étire en elliptique les orbites des corps célestes. Ces corps et leurs biotopes sont influencés en permanence par ces énergies magnétoélectriques (positions des magnétosphères : soleil et planètes, constellations). Les anciens sages païens établirent des cycles récurrents, grâce aux mégalithes, où le climat basculait par modification des activités cosmiques et géomagnétiques (13 cycles de 396 ans associés à la précession des équinoxes, 25'920 ans). Cela a engendré les « apocalypses » que les religions du livre nous ont romancées…

Lorsqu’un nouvel artefact de notre passé ancien; ou que la découverte de manuscrit ancien; ou que certaines recherches scientifiques sur les raccords manquants entre notre science et certaines réminiscences de l’ancienne science se font trop persistantes; la gouverne actuelle se met en branle et apporte un feu nourri stratégique et structuré.

Pour ce faire, « la communauté de la terre plate» fera disparaître tout ce qui ne rencontre pas le cadre en allant jusqu’à menacer, diminuer ou même détruire la vie du porteur de connaissance païennes. ( http://www.incapabledesetaire.com)

 

La remontée du courant procède par le vide. En considérant plus précisément le vide comme l’origine du « siphon » toroïdal. Tout autour, les forces centripètes, centrifuges…

Ces forces, dans les civilisations humaines, sont idéalisées sous la forme symbolique de la croix. Nous avons choisi une croix particulière : la Triscèle.

Croix à trois axes, conscientisation du monde manifesté par la structure, le symbole.

 

« Ce n’est pas l’être qui a fait les formes, mais la structure des formes qui existe dans l’être et qui s’impose à lui ».

 

La parole silencieuse au flux immanent, dont les Runes sont l’expression densifiée. L’information vibrante des choses, l’articulation « grasseyante » d’elle. Figures fabuleuses. Ainsi nous amènent-elles vers le centre émanent de l’origine naturante, « loi de la nature ». De cette loi de la nature découlent toutes les autres. Cette loi c’est « la loi de consommation universelle ». Dit d’une autre manière « la loi de la chaîne alimentaire universelle ».

Le bois est la nourriture du feu qu’il consomme en se consumant. C’est ainsi pour tout, du subtil « infini » au dense fini. Le monde est la nourriture de l’être qu’il consomme, l’être est la nourriture du monde qu’il consomme. Les sages le savent, le règne humain se trouve aussi être le bétail des Dieux… Penser et surtout prendre garde à « La puissance des mouches : elles gagnent des batailles, empêchent notre âme d’agir, mangent notre corps ». Blaise Pascal, Les pensées.

Mais qui dit nourriture dit pourriture, une lettre qui différencie le processus de génération de celui de dégénération.

Ainsi est la loi, non écrite, mais la seule qui est, réellement.Alors :

 

Connais-toi toi-même, pour savoir qui mange quoi !

A suivre…

 

 

« Etant situé au-delà du beau et du bien l’aspect sinistre du fini sera devenu sans objet pour lui, la distinction entre la vie et la mort n’ayant plus le sens commun : deux fois né (comme ses céramiques nées du cru et du cuit), indifférent, le potier est en paix ; en lui le four est à jamais éteint et s’il cuit des pièces c’est au feu du sacrifice du moi qu’il les finit. »

J. Canteins

 

L’être parfait est celui qui est ce qui est à être

 

A u x E n f a n t s E u r o p a ï e n s

 

 

A vous, filles de la nécessité, à vous gardiennes et gardiens des seuils

Théodore Bordier De Hel

« Si tu veux trouver, simplifie tout »

 

 

les éditions du VaTeLier

w w w . r u n e s . c h

9 chemin de Sierne, 1255 Veyrier à Genève, en Helvétie

 

 

 

 

Sierne, 1999/201§

BON BIEN BEAU EN REALITE

 

 

PS : APRES AVOIR ECRIT CECI JE ME DOIS DE LE VIVRE…

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